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Le 22/04/2018
Je suis énormément inquiète.
Donne moi des nouvelles.
Stp, donne moi des nouvelles.
J'aimerais pouvoir te parler.
Dis moi si je peux appeler.
7-4
Réveille moi quand ça aura marché
Le 21/04/2018
Réveille moi quand tout cela sera fini.
Réveille moi quand j'aurai trouvé comment faire.
Réveille moi quand j'aurai assez dormi, que je me serai enfin reposer.
Réveille moi quand je serai enfin le bon.
D'ici là j'aimerais dormir pour m'offrir ce que j'ai vraiment besoin.
D'ici là je me rêverais une vie dont je voudrais me souvenir.
Réveille moi quand tout cela aura marché.
Le 15/04/2018
Si tu savais comme je suis à toi et que tu ne me perdras jamais. Pas dans l’amour, pas dans le partage de ce même regard que nous avons sur la vie et la beauté. Si tu me perds c’est comme compagnon de vie mais c’est tout.
Par contre, laisse moi juger si nos échanges sont encore doux ou non. Laisse moi ressentir si tu es plus amer que douce. Pose toi la question si tu veux mais ne fais pas de conclusion.
Je suis toujours complètement amoureux de toi. Je considère toujours que tu es la femme de ma vie et même si j’essaie autre chose pour aller mieux, je fais souvent face à ce désir refoulé que tu incarnes. Par contre, je me suis protégé un peu de toi en me disant que je pouvais vivre avec cet amour sans le vivre et ça fonctionnait. Ça fonctionnait aussi car j’imaginais que tu étais heureuse avec ton choix et que ton bonheur (même sans moi à tes côtés) était le plus important. Reprendre contact avec toi dans ces conditions était donc doux et pas du tout amer.
Depuis peu, par contre, nous avons rééchangé des mots plus profonds, plus intimes, partagé des désirs et tu as dit et je me suis plu à en reparler plusieurs fois: « on va finir ensemble n’est ce pas » et l’autre de répondre « oui, c’est sur ». Sous la douceur de ces mots, l’amer se cache un peu pour moi car te savoir à nouveau si proche, et surtout encore là... ne me donne plus du tout envie de faire autre chose. Je veux, à nouveau, tout lâcher et être avec toi. Tu emplies, à nouveau, toute ma vie et toute ma tête. Je pensais juste pouvoir être flatté de cela mais, c’est si important pour moi, encore d’aboutir avec toi, que cet espoir renouvelé me fait replonger.
Douce, tu le seras toujours. Amer tu ne le seras que si tu me gardes dans cette indécision. Être avec toi est un environnement important pour mon épanouissement, celui qui me tente le plus. Savoir que tu le voudrais aussi, mais sans savoir quand, peut être même sans savoir si ça arrivera, c’est ça qui est dur...
Je peux vivre à essayer de te rendre heureuse, je peux vivre à te savoir heureuse avec un autre, mais il me sera toujours difficile de vivre avec ton amour et tes yeux d’amour si c’est pour rester en retrait à attendre.
Pour moi la vraie question n’est pas « suis-je plus douce ou plus amer pour lui? »... mais plus « puis-je lui dire ce que je veux vraiment de lui? Où est sa place avec moi? »
Le 14/04/2018
Ça m'a trotté dans la tête toute la soirée, comme un écho qui n'arrive pas à s'échapper de sa caverne, rebondissant sans cesse à la recherche d'une issue. Ce n'est pas la première fois qu'elle vient me visiter cette question. J'ai d'ailleurs peur du jour où ta psy te la partagera aussi.
Une question que j'évite, par peur que la réponse m'éloigne de toi. Lui fais-je plus de mal que de bien?
J'entends encore ta voix en sourdine qui se justifie, qui tente d'expliquer, qui avoue à demi mots, et la mienne, teintée d'un brin de colère, qui confronte et dépeint à grands coup d'exemples poussiéreux son exaspération. "Je lui fais du mal" je me dis après...
Ça fait mille et une fois que je me la pose, sans trouver de réponse claire. Mille et une fois que j'envisage couper les ponts "pour ne plus faire de mal", toujours avec cette même angoisse de ne plus te côtoyer.
J'ai l'impression d'être douce-amer à ta vie. Tantôt plus amer que douce. Ce matin, très amer, pour avoir parlé de ta "douce". L'ironie, elle était peut-être là en fait.
Bref, je ne sais pas si le sucre de nos échanges est encore suffisamment présent pour que tu puisses encore apprécier leur goût.
S'il ne reste que l'amertume, même des heures après, il faut changer la recette...
Le 11/04/2018
Ça ne devrait pas aller sur ce site, mais je n'ose pas utiliser les autres moyens pour partager ça, alors...
https://www.mindbodygreen.com/0-25280/the-tantric-technique-designed-to-give-you-multiple-orgasms.html
http://www.news.com.au/lifestyle/relationships/sex/my-yoni-massage-experience-i-paid-an-expert-to-massage-my-vagina/news-story/7a2566cf43fc74bf1ea4f629eb39efee
https://www.youporn.com/watch/8162110/oily-massage-with-real-orgasm/
Bon, tu peux retirer ce billet après consultation...
Le 07/04/2018
Joyeux anniversaire Dai Suki,
Aujourd’hui est une journée pas tout à fait comme les autres.
Je n’ai pas réussi à trouver le cadeau parfait pour toi, celui dont j’aurais été fier d’être l’offreur. Un jour, l’idée viendra et je te l’offrirai avec le plus grand plaisir. Il sera trop tard pour cet anniversaire, il n’y aura alors surement pas d’occasion… mais l’important sera que ce cadeau témoignera quand même pleinement de ce que je ressens pour toi.
Alors, en attendant, j’ai essayé de me dire ce que je pourrais t’écrire, ce que je voulais vraiment te dire pour cette occasion. Et voilà ce qui sort de cette réflexion : je veux te dire des mots doux, des mots beaux. Je veux te dire la vérité et voir un sourire se dessiner sur ton visage et une douce chaleur se dissiper au creux de ton ventre.
- Tu es une femme magnifique, la plus magnifique qu’il m’ait été donné de rencontrer.
- Dès le premier jour, j’ai vu ta beauté dont ton sourire est la signature. Cette beauté n’a jamais quitté ma mémoire et je la vois dès que je te vois.
- Apprendre à te connaître a été la plus belle aventure de ma vie. Découvrir ta personnalité, en la débobinant fil après fil, a été une activité délicieuse.
- Il est si plaisant pour moi de partager mes idées avec toi. Toujours, ce partage nous a fait aboutir à des discussions dont chacune aurait pu ne jamais finir.
- Naturel(le). Notre rencontre l’a été. J’ai l’impression qu’avec moi tu l’es. Avec toi j’ai enfin pu l’être.
- Le jour où j’ai pu apercevoir tes courbes gourmandes, c’est un plaisir de figues que j’ai gouté. Elles resteront à jamais un chemin d’épuisement à mes mains baladeuses.
- Odeurs : tu connais celles que je sens de toi. Miel, Amande douce, légères notes d’agrumes et douceur sucrée et subtile d’une figue fraiche.
- Il est si agréable de se perdre dans tes grands yeux marrons (mais verts) de gazelle. Le moment où ils sont les plus beaux, c’est dans le silence, quand tout passe par eux...
- Ton sexe. Que dire sur lui sinon qu’il est, j’en suis certain, le reflet, l’envers du mien. Celui qui m’accueille comme une maison où le foyer brule de cette lumière chaude et orangée alors que dehors la nuit hivernale enveloppe tout.
- Qu’il est plaisant et facile de travailler avec toi. Mais plus que tout, travailler avec toi me permets d’exprimer ce qu’il y a de meilleur en moi et de produire du beau, du bon et je sais maintenant que la qualité de ce travail que je fais avec toi, les autres la perçoivent.
- Tu m’as appris l’amour vrai. Pourtant, je ne suis pas certain que tu savais toi-même ce que c’était, mais avec toi, ensemble, on l’a découvert et l’amour vrai s’est montré. Aventuriers, pionniers nous avons découvert cette terre qui pour moi était nouvelle et que je n’oublierai jamais.
- Unique. Comme la licorne. Tu l’es complètement. C’est ce qui est terriblement magnifique et magnifiquement terrible.
- J’ai toujours aimé ton goût. Celui du bout de tes seins, celui de ta peau, celui de ta salive.
- Avec toi l’art a pris une nouvelle définition. Avec toi, il est devenu ludique, curiosité, mais il est aussi devenu mien, possible et nourrissant. Avec toi, l’art est devenu une part de ma vie dont je ne veux plus me séparer car elle est celle qui exprime le mieux la beauté que mes yeux s’entêtent à voir dans le monde.
- La trilogie de beauté de ta joue. Elle aussi est unique. Je m’y perdrai avec plaisir dans ce triangle des Bermudes cutané.
- J’ai connu avec toi l’orgasme le plus important de ma vie. Celui où à travers tes yeux, je me suis vu en toi et que j’ai oublié la moindre partie de moi. Celui où j’ai plongé et que quelques secondes durant plus rien n’avait de sens puisque je j’avais tout compris.
- Tu es accessible et pourtant si difficile à cerner. Simple et à la fois si complexe. Sobre et dans le même temps de la plus belle richesse. Tu es magnifique.
- Tes cheveux, je les adore. Ils sont surement l’expression de ta liberté. Liberté qui, lorsque tu leur offres, lorsque tu la leur permets, ils deviennent tignasse. Et c’est ce moment de transformation, de cheveux à tignasse qui, par-dessus tout, m’envoute lorsque négligemment tu me l’offres.
- Je pense pouvoir dire que nous avions aussi la gastronomie en commun. Mais je peux affirmer que tu es la maitresse de cet art là et que je n’y suis, moi, que ton humble apprenti.
- Tes dents sont l’inverse de tes lèvres. De ce que tes lèvres n’ont pas reçu de charnue, tes dents l’ont récupéré en avidité. J’ai appris que j’aimais l’absence des premières et me cogner à la présence des dernières.
- Tu as réveillé (et nourri à la hauteur qu’elle méritait) l’inspiration qui couvait en moi. Je n’ai plus de gêne à affirmer que tu es ma muse. J’en suis fier. Grace à toi, je créé, donc je suis.
- Tes petites mains, pleines de petits doigts… qu’elles sont expertes. Sous leur apparence de petites saucisses cocktails, je n’en ai pas connu qui travaillent si bien leur art, traduisent si bien la beauté en un bricolage ni ne touchent la peau avec tant d’attention.
- Tu es gourmande et c’est merveilleux. Ta gourmandise a réveillé la mienne et ce gout de la vie, ce gout des bonnes choses, des vraies saveurs, est une leçon qu’il est agréable de réapprendre encore et encore, à chaque jour sous ton guide.
- Tu m’as aussi appris quelque chose d’incroyable. L’abandon. Je t’ai vu t’abandonner à moi et j’ai ensuite pu ressentir à mon tour la nécessité de le faire. Quel plaisir m’as-tu offert en me montrant à quel point on peut être beau lorsque nous sommes sous notre forme la plus belle : la fragilité absolue.
- Cultive ton jardin. Tu as l’attention qu’il faut pour créer la vie et en prendre soin. Il est si agréable de te savoir en train de faire pousser, par ici des fleurs et par là des fruits. J’aime les gens qui se salissent les mains dans la terre car ils savent que c’est d’elle que vient la beauté propre d’une fleur.
- Le temps a souvent été notre grain de sable. Parfois notre grain de sel. Il a été et sera encore celui qui m’apprend des leçons, celui qui apprend la vie. Nous n’avons pas le même et pourtant j’aime le tien. J’aime que nos temps se soient croisés à leur vitesse respective.
- Tu auras, à titre éternel, un accès à mon cœur, à mes sentiments et à mon corps.
- Avec toi, les silences sont aussi agréables que le reste. Sur un sofa, au téléphone, sur une couverture dans un parc… Alors qu’il est si facile de se parler, les silences s’imposent parfois sur nous avec naturel et la douceur d’un sourire.
- Timide mais torride. Tu es timide, oui, je pense qu’on peut le dire, mais tu es également, dans l’intimité, la liberté torride du plaisir sans gêne, le meilleur des plaisirs.
- Après toi. Parce que toi. Ma vie ne sera plus jamais la même et c’est très bien comme ça.
Le 06/04/2018
Tu te sens oubliée alors que tu m’habites en tout temps.
Si seulement tu pouvais être dans ma tête. Pour voir, savoir et comprendre là où je suis. Voir que je n’ai pas bougé d’un iota dans mon amour et mes intentions, savoir que malgré les apparences, c’est toi, ça l’a toujours été et e n’ai aucune envie de changer ce désir... et comprendre que ma finalité reste toi et que je lâcherai tout pour toi car tout abandonner dans ce contexte ne serait en rien une perte mais au contraire un gain.
Loin, tu peux l’être c’est possible mais oubliée, quelle drôle d’idée!
Le 28/03/2018
Je te sens loin ce soir. Je me sens oubliée. C'est bizarre.
La journée a été difficile, fatigante. C'est peut-être pour ça...