Je rêve encore du moment où enfin tu te rendras compte, que cette vie ici est pour nous.
Que ce nous qui te manque est beau, qu'il existe déjà, qu'il est la chose à faire.
Je rêve encore si fort du moment où tout ton corps, toutes tes fibres lacheront prise et admettront l'évidence.
Ce nous me manque à moi aussi. Mais je crois que le nous qui me manque le plus, c'est le nous qu'il nous reste à construire. Le nous sans les autres... et d'ici que la vie me le permette, je me retire dans ma cachette et fonds en larmes... et pour la première fois, pleure pour de vrai.