À ton égard, je ressens des choses contradictoires.
Je rêve de t'embrasser, de te faire l'amour, et en même temps, j'ai presque envie de te donner un bon coup de poing dans la face.
J'ai envie de continuer à échanger, à te parler, puis je souhaite ne plus jamais te revoir.
Je souhaite de ne jamais oublier tout le beau, tout l'amour que tu m'as donné, puis je souhaite enterrer tout ça au plus profond de ma mémoire et que tu deviennes un inconnu pour moi.
Je souhaite garder les souvenirs flatteurs de toi, de ton physique, de ta beauté, puis je me dis qu'il n'a rien d'extraordinaire ce physique, et qu'il ne vaut pas la peine de monopoliser de la mémoire pour lui.
J'aurais envie de continuer à te lire, et à t'entendre jouer avec les mots pour les agencer de la plus belle façon pour exprimer l'amour, puis je me dis que tout ça, ce n'est qu'un de tes talents de beau parleur, et que ces doux mots seront aussi servis à la prochaine naïve.
Là je t'aime, puis je te hais. Je t'aime, et je te hais. Je t'aime. Je te hais. Et ainsi de suite.
J'arrive plus à savoir qui tu es, et comment je dois me sentir face à toi.
T'as généré le doute. Aujourd'hui, c'est la contradiction qui prend sa place.