Je suis impatiente que tu me donnes de la musique pour nourrir mes oreilles. Elles sont curieuses d’entendre ce qui t’anime.
T’es-tu amusé à nouveau avec la sensula hier finalement?
J’ai pensé beaucoup à toi hier soir. Malgré l’ambiance de fête, le plaisir que j’ai eu, je n’étais pas pleinement là. J’étais là, mais j’étais aussi beaucoup avec toi. C’est lorsque je suis heureuse et que j’ai du plaisir que tu me manques le plus, parce que j’aurais envie de partager ces moments-là avec toi. Quand ma vie est belle, et elle l’est souvent, t’es là, immanquablement.
Je sais qu’il n’y a aucune chance que cela se produise, mais on dirait que je t’attends aujourd’hui. Cette excitation que j’ai quand on a rendez-vous, elle est là aujourd’hui. Je sais trop bien que mon attente est inutile puisqu’une visite de ta part est inespérée. Pourtant, je n’arrive pas à me défaire de cette sensation. J’ai eu à quelques reprises, depuis le matin, l’impression que tu te cachais derrière ma porte. Je tendais l’oreille, j’attendais, mais rien. C’est dans des situations comme celle-là que je me dis que l’espoir est fort. Il réussit parfois à éclipser la pensée rationnelle. L’espoir sait très bien se nourrir et croître sur des « peut-être », des « si » et des « on ne sait jamais »… Il lui en faut peu pour devenir grand, et fort surtout. Alors, même si je lui dis que tu ne viendras pas, il t’espère encore.
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