Encore il y a eu le viens j'ai envie de te voir, le on peut aller boire une bière, le on peut faire qu'un char, le regarde comme on s'aime, le regarde comme on se désire, le regarde comme c'est bon, le je me perds dans la joie de tes yeaux, le on ne eut pas faire autrement que de finir ensemble, le merci d'exister, puis il y a encore eu le on fait n'importe quoi, le c'est impossible, le je ne suis pas prête, le il faut retrouver notre équilibre, le statu quo.
Encore le malaise, le cylce des papillons dans le ventre qui maintenant redeviennent des chenilles.
Je t'aime plus que tout Daisuki. Pourquoi n'est-ce pas assez?
Tu n'arrives pas à t'engager..., à sauter dans le vide...
Comprends que je suis en bas. Je t'attends.
Quand tu sauteras, je serai là.