C'est encore amusant - je ne sais pas si c'est le bon mot - mais ce matin, il me fallait t'écrire. Et voilà quand ouvrant le site après un petit combat intérieur, je vois que tu viens de poster un billet. Presque à l'instant. Nous étions donc encore ensemble, comme connectés par un fil qui ne se casse pas.
Comme toi, je n'arrive pas à penser sans que tu sois là. Parfois ta présence est la source de ma question, parfois elle est plus comme le soutien qui m'aide à prendre la décision ou à comprendre ce que je cherche.
D'ailleurss souvent dans ma réflexion, nous arrivons à la même conclusion: J'espère que ma vie sera comme toi; belle, naïve, surprenante, intense et fraiche.
Je vais bien, pas plus pour le moment. Je suis terriblement fatigué. Mes émotion se tassent, s'applanissent. Surement sous l'effet de la médication.
Et pourtant, tu me manques toujours, au plus haut point.
Est-ce trop tôt?:
mercredionzeheuretrentreau140ruemaclarenestàbuckingham