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... de toute façon, comme moi aujourd'hui, tu finiras bien par aller là où tu dois, sinon tu vas te crasher.

Si j'avais du arrêter de t'aimer j'en ai eu toutes les raisons déjà et ce n'est pas arrivé.

Alors pourquoi le ferai-je maintenant.

Que puis-je te dire de plus que : je veux ton bonheur et si tu ne le vois pas avec moi alors fais ce que tu veux.

Fais attention à toi. Tu es beaucoup plus belle que tu ne le crois (évidemment je parle de l'intérieur, mais tu es aussi très belle à l'extérieur), plus fragile aussi. Si j'avais eu ta sagesse et mon courage à ton age alors j'aurai fait de si belles choses.

Maintenant, j'ai cette sagesse et je n'ai pas perdu mon courage. Je sais ce que je veux. Je sais ce que nous partageons, c'est fort, grand et vrai. Je sais que la route de mon bonheur serait plus courte, plus directe avec toi, mais je sais qu'il ne dépend pas de toi. Je sais que j'aimerai voir aller notre folie, notre créativité mutuellement nourrit, et j'espère que tu auras envie de les voir aller toi aussi un jour.

De toute façon, j'ai l'impression d'avoir fait tout ce que je pouvais. J'ai évolué, j'ai cherché qui j'étais, j'ai changé. Maintenant, en ce qui nous concerne, la décision te revient. Tu es la bienvenue dans mon coeur, et je m'engage à tout faire pour te rendre heureuse sans m'oublier.

Je ne te demanderai qu'une chose et j'aimerai que tu me répondes sincèrement :

Te retires-tu... seule? T'éloignes-tu... seulement de moi?

Dis moi seulement ça pour que je sache t'attendre dans de bonnes conditions, sans me faire mal.

Tu vas me manquer terriblement. J'ai peur d'entendre un bruit de verre brisé à l'intérieur de moi. Je vais essayer de garder ça en un morceau.

Pourquoi est-ce si dur de vivre un si bel amour...

Finalement c'est toi qui est compliquée.

7-4

Cette fois, c’est différent.

Je suis tannée de mentir. Je suis d’avoir la tête embrouillée par la peur, par les inquiétudes, par les remords.

Je ne veux plus vivre avec tous ces reproches.

Je dois m’éloigner. Je dois me retirer. Je deviens trop fragile.

Je ne sais pas quand ni comment, mais je reviendrai surement. 

7-4

Encore une journée passée dans une quasi pleinitude de joie... Que de progression! Ouf. Et en plus, je crois que je m'aime, j'aime qui je suis devenu! En tout cas, je ne me suis jamais aimé autant de ma vie qu'en ce moment. Si on m'avait dit que je vivrais ça un jour, je ne l'aurai probablement pas cru.

Biensur, il reste encore du travail à faire mais j'y suis presque! En espérant que les derniers dix mètres soient pas plus dix fois plus long que le marathon que je viens de me faire.

En tout cas, je le sens, j'y suis presque:

Moi: J'ai réussi à me trouver, et à mettre dernière moi ce sentiment d'imposture qui m'a tant collé à la peau toute ma vie. Qui m'a forcé à me cacher et à me mentir. Je ne suis plus inquiet de moi, je n'ai plus peur de moi... je suis devenu quelqu'un de bien, quelqu'un que j'aime bien. Mon dieu que cela fait du bien.

L'amour: Que dire de cela! C'est le plus flagrant. J'aime mieux. J'ai si souvent écrit que j'aimais beaucoup, énormément mais mal. Je crois que je le savais même si je n'étais pas du tout capable de dire pourquoi ou ce qui clochait. Je ressentais bien que je ne canalisais pas correctement cet amour, et pourtant il était si grand si intense si coloré. Je ressens un tel bien être aujourd'hui à me sentir libéré de cela. Pas que mon amour est moins grand, moins intense, non, il est juste canalisé autrement. Il suit le chariot plutôt que lutter contre sa direction. Quel soulagement, quel poids de moins sur les épaules... Encore un fois, je n'estime pas que tout est gagné, mais je suis sur la bonne voie et j'y suis presque.

La jalousie/ la peur: La jalousie est une forme de peur. Peu de peur m'ont habité dans ma vie, mais la jalousie oui. Elle ne s'exprimait pas en mettant une pression énorme sur ma partenaire ou en étant toujours derrière à tout vérifier. Non, cela se matérialisait par une surexposition de moi et mes performances pour plaire, pour séduire, pour démontrer que rien ne pouvait être meilleur. C'est en prenant toute la place que je me protégeais de la jalousie, que je me protégeais de la concurrence. Il y avait aussi la peur d'être seul, d'être poche, d'être normal. Maintenant je m'en fous. Il me piquera toutjours par moment de savoir que tu couches avec d'autres si c'est ce que tu aimerais. Il me fera toujours par moment mal de savoir que tu veux vivre avec un autre même en me faisant comprendre que je suis important pour toi et que tu veux me garder. Je n'ai plus envie d'avoir peur, j'aime trop t'aimer pour le salir de quelque façon que ce soit. Je t'aime si sincèrement que c'est 'presque' satisfaisant... J'y suis presque.

Toi: Muse, amour, jeune, vie, beauté, fraicheur, énergie. Je suis débordé par ta présence qui modifie les vibrations de l'air, qui modifie les apparences et change la position des étoiles pour aligner la chance sur mon sort. Tu ne me fais plus peur. Tu m'inspires et m'impressionnes, mais je n'ai plus peur. Peut être suis en train de comprendre que je ne te dois rien, que je n'attends en fait rien de toi et c'est pour cela que je me sens si capable de simplement tout t'offrir et de te prendre tout ce que tu voudras me donner. Je t'aime. Ces mots ne devraient plus rien signifier pour moi tellement je te les dis et pourtant, je les redécouvre à chaque fois. Je t'aime et comprends que je m'offre totalement à toi. Mais attention, je ne t'offre pas un corps mort... vidé de son sang! Je t'offre un corps en pleine possession de ses moyens, un retour sur investissement de l'énergie que tu développes en moi. Je veux te cajoler, te glorifier et te donner pour te remercier de tout ce que tu m'as donné.

Je suis si fier de toi, de ta sagesse. Si tu dois me rejoindre, je veux être moi. Celui qui ne se brime plus lui même. Celui qui s'aime, celui qui ne se ment plus. J'y suis presque. Je dois encore me recroqueviller un peu pour pouvoir me tourner encore plus sincèrement vers les autres, et vers toi bien entendu.

Je t'aime, et cet amour est la plus belle chose qui me soit arrivée de ma vie. C'est une renaissance... un moi_V2.0. Quelle aventure! Quelle vie incoryable... que la vie est incroyable...

J'y suis presque.

Mon bel amour,

Attention! Ne confonds pas (par pitié) entre le mal de mer et le mal de vivre. Hier, tu avais le mal de mer mais pas le mal de vivre avec moi. Hier, tu étais dans un bateau de stress dont je faisais partie, mais celui-ci été agité, pas par moi, mais par la fatigue de la situation et la défense de ton dossier à la SCÉ. Sans cette situation, le rêve que je te propose t'aurait changé les idées, il t'aurait bercé et mis du soleil là ou il pouvait y avoir de la brume. Ne confonds pas la souffrance de lutter contre l'amour et l'ivresse de cet amour. Lutter contre est surement plus dur car l'ivresse est grande et belle...

Laisse moi te glorifier, te cajoler et tu verras que le rêve sera doux. Mon amour s'est grandement simplifié depuis toi et aujourd'hui, ce n'est pas moi qui suis compliqué mais bien la situation. Alors attention, je t'en prie. Je ne suis pas dangereux et surtout je ne te veux que du bien et tant de bien... Ne condamne pas le bateau pendant la tempête, il y est autant que toi et son seul but est de te garder en vie et de t'amener loin une fois qu'elle sera passée. 

Des preuves?

Facile

Je te touche et je vibre.

Je te touche et tu vibres.

Je t'embrasse et tu vibres.

Je t'embrasse et je fonds.

Comment ne pas croire qu'il y a une complémentarité particulière lorsque quelqu'un qui aime tant être touchée rencontre quelqu'un qui a tant de plaisir à toucher?

Peut être n'aimerais tu pas cela tous les jours... mais j'en doute.

Peut être les voyages que m'offriront ton ventre, ton cou, tes reins, tes seins... seront pour moi des voyages si nourrissants que l'exploration du monde deviendra banale et que le bouillonnement deviendra... mijotage.

J'ai tant de confiance en moi, en nous.

Alors que manque t-il?

Ta liberté? je n'en veux pas, je te la laisse

La tranquillité? Je ne m'attends pas à te faire voyager tous les jours, mais te caresser oui.

se nourrir? nous le ferons très bien.

les amis? oui ce paysage changera surement. mais pourquoi n'aimeraient-ils pas celui qui t'aime et celui que tu aimes?

La vision des autres, de ta famille sur moi? oui, ce sera surement difficile mais je ferai de mon mieux pour me taire. Pour eux je pourrais être muet?

Mes enfants? je suis sur que tu aurais beaucoup à leur offrir par ta présence. Et tu n'es obligée de rien.

il y a surement plein d'autres choses, mais j'aurais réponse à tout... car rien ne peut accoter ou diminuer la grandeur d'un toucher, l'ivresse d'un baiser, la profondeur d'un regard partager que nous partageons.

Attention donc à ne pas confondre: Je peux vivre sans toi. Je ne veux pas vivre sans toi.

Je ne comprends pas ce qui se passe. Je crois que j’ai le mal de mer.

Tu me chamboules. Notre histoire est pleine de vagues. J’ai le cœur à l’envers. L’aventure, naviguer, c’est peut-être pas pour moi finalement.

Pour un cœur sensible, les rêves, c’est peut-être suffisant.

Les voyages sont toujours doux en rêves.

Je suis désolée que tu m’aimes autant. Je ne suis peut-être pas celle que tu espérais.

De toutes évidences, je ne sais pas naviguer. Et mon cœur, je ne sais pas s’il tiendrait le coup. 

- détective... toi!! Oui, toute une détective!!! avec les indices que je t'avais donnés... j'espère bien que t'as été capable de le trouver le site! -

Ceci étant dit, quelle belle journée!

Ô doux souvenir de ces moments partagés avec toi hier, Ô doux souvenir de tes yeux noisettes et du regard d'amour qu'ils savent envoyer, Ô doux souvenir de ta peau dont je suis fou, Ô doux souvenir du gout de ton sexe qui me transporte et me fait vibrer.

Je t'aime du plus profond de mon âme et tu provoques en moi une joie douce, durable et colorée.

Hier, j'ai regardé Gran Torino et j'avoue que cela a terminé magnifiquement cette journée par-faite ! Une belle histoire d'amitié, d'humanité (sale et belle) avec une fin ni heureuse ni catastrophe, une fin humaine.

Aujourd'hui, je viens d'aller faire une grande ballade en raquette avec Fidji et ce soleil, le printemps qui s'annonce... les souvenirs d'hier plein la tête, tout était en place pour me permettre de me coucher dans la neige et faire une méditation heureuse. Les yeau fermés, concentré sur ces émotions positives qui me traversaient, j'ai vu! J'ai vu les couleurs, des iris de rouge, de vert, des univers de bleu, des trous noirs... Je n'avais jamais vu autant alors que j'avais les yeux fermés! Quel plaisir c'était de flotter dans couleurs, de voyager dans un espace qui devait être intérieur mais qui avait l'air si vaste, si beau, si profond. J'y suis rester 30 minutes et le retour à la maison s'est fait dans une lenteur et une bonne humeur délicieuse.

Je t'aime c'est évident, mais j'aime aussi ma vie. J'ai presque envie de dire que je suis heureux. Je pense que les deux sont liés, mon amour pour toi et mon amour pour ma vie, mais j'ai déjà aimé très fort sans être heureux... j'ai déjà aimé de façon moins compliqué sans être heureux. Donc ce n'est pas seulement l'amour qui me rend heureux, mais bien... comment je me transforme dans cet amour.

Quelle belle journée, quelle belle vie de t'aimer.

Parce qu’on se l’ait toujours offerte. Parce qu’on ne peut pas se parler souvent et qu’il faut donc aller droit au but quand on prend le temps d’échanger, je vais te donner quelques états d’âme en toute franchise.

Je t'aime

Je t’aime comme un fou. Je t’aime si intensément que j’ai envie de progresser de m’élever avec cet amour. Cette force que je ressens grâce à cet amour me fait croire qu’elle peut être un moteur, le moteur important de mon évolution. Qu’avec elle je pourrais aller loin. Qu’il faut que je la canalise pour suivre sa puissance plutôt que de lutter contre et m’épuiser. Je ne sais pas trop comment faire, mais j’essaie. En ce moment, mes essais tournent autour de laisser arriver toutes les questions qui m’assaillent (et qui s’imposent toujours) mais de ne pas leur chercher de réponses. Malgré cela, je n’évite pas les moments de tristesse et de mélancolie. Mais cela ne m’inquiète pas, j'ai le droit de vivre avec ces émotions et je ne crois pas être capable de vivre sans. De plus, ce genre d'émotions arrivent et encore plus avec une situation comme la notre. Mais je ne m’y accroche pas, je les observe, je regarde d’où elles proviennent et j’accepte leur présence. L’observation donne une distance et la distance une protection. Tout ceci est encore nouveau pour moi. Garder une distance avec ce que j’aime le plus au monde.

Mon amour

Mon amour est grand, il est franc, il peut être maladroit parfois, j’ai toujours été un peu maladroit en amour. En ce moment, cet amour que je te porte se doit aussi d’innover, d’être nouveau. Je le découvre donc aussi en même temps que je le vis. Je le sens profond et en même temps indépendant. Il a envie de se fondre en toi, souvent, pour sentir et vivre ta peau, ta vibration, ton énergie. Mais il souhaite aussi rester entier, ne pas fusionner pour ne pas s’oublier et disparaitre. Mon amour est si clair et vrai qu’il m’a convaincu que ton énergie, ta vie vaudrait la peine d’être partagées, qu’elles me feraient grandir. Qu’il pourrait même valoir la peine de créer une nouvelle cellule familiale, une nouvelle aventure folle et produire un être issu de cet amour. Un être qui aurait un environnement pas banal de développement, qui pourrait avoir une vie pas banale sous ces influences mixtes de rêves, de créativité, d’amour, de joie, de réflexion, de concret, de folie et de quotidien. Ceci n’est pas un but, c’est une avenue, un chemin possible et stimulant. Je n’ai pas peur de ces directions, je n’ai plus peur de mon amour pour toi, je n’ai plus peur de cette vie.

Notre amour

Il est grand, il est vrai. Il n’y a aucun doute là dessus. On dit aussi souvent qu’il est authentique. Sa propre existence est étonnante. D’où est il venu, comment a-t-il pu naitre dans ce magma de vie, dans ce foison de contraintes?? Encore des questions auxquelles je ne veux pas répondre. Il est fort car nous sommes faibles. Il aurait déjà du mourir plusieurs fois, mais je crois que notre faiblesse vient aussi de sa beauté. Il est difficile de tuer le beau. Dans ma conception des choses, un tel amour arrive, il brasse, il s’enracine et ensuite il se vit ou pas. Je crois que ce qui le fait souffrir cet amour et pourquoi il nous fait souffrir aussi c’est qu’on a changé le « ou » par un « et » : on le vit et on ne le vit pas. Cela nous met donc devant de drôles de situations, parfois gênantes et qui mettre encore une pression forte sur lui. Une chance encore une fois qu’il est si fort.

La situation

Complexe et extrêmement incertaine sont les mots qui me viennent le plus souvent à l’esprit en ce moment. Elle a déjà été belle et extrêmement stimulante, elle l’est encore d’ailleurs, mais je crois que complexe et incertaine sont les adjectifs plus adaptés maintenant. Moi en tout cas je dois gérer mon amour pour toi avec ces doses de complexité et d’incertitude. Et toi? Que veux tu? Que fais tu? Qu’elles sont tes attentes envers nous? Que veux tu de moi? Que je sois heureux, satisfait de t’aimer à distance? Que je me taise? Que je t’attende dans l’amour et la joie? Que je ne t’attende pas, mais dans l’amour et la joie quand même? Je sais, c’est beaucoup de questions et je ne te demande pas de réponses. Je ne te les présente que pour te dire ce qui me passe par la tête, ce que je ressens. Je crois savoir que tu ne sais toi même pas exactement ce que tu veux. C’est correct. Je sais que ce n’est pas par manque d’amour pour moi. C'est peut être plus à cause de la vision extérieure que notre couple donnerait, peut être un peu parce que ta vie actuelle et ton amour pour lui sont tout de même précieux. Peu m’importe la ou les raisons, les faits sont là; tu n’es pas là, tu choisis une autre vie pour le moment. Et je te trouve ensuite sévère de me reprocher d’en faire le constat. Tout à l’heure, tu me dis que je t’ai blessée. Désolé ce n’était pas mon intention. Je pensais que tu étais assez à l’aise avec tes choix que de t’en parler n’allait pas te blesser. Je ne te reprochais pas de ne pas être là, j’en faisais le constat et surtout, je faisais le constat que je devais faire des choses avec les enfants et que l’échange que nous avions eu pouvait s’arrêter. Parfois je me demande si tu ne t’en veux pas plus que moi je t’en veux. En tout cas je ne voulais pas te blesser. Et puis, je ne t’en parle pas si souvent, je ne te le reproche pas vraiment. Je garde ma porte ouverte pour toi sans mettre d’emphase sur le fait que tu ne me choisiras peut être jamais. Laisse moi prendre soin de moi dans cette réalité, dans cette incertitude qui n’est pas si facile à vivre pour moi. Laisse moi le droit de ne pas simplement être heureux de cette situation, de ne pas simplement accepter tout cela sans rien ressentir... Je crois que ta relation avec Max t'influence aussi, lui qui ne te demande jamais rien, qui ne cherche pas à comprendre ce qui se passe en toi ou entre vous... mais c'est aussi une médaille à 2 revers. Je comprends qu’avec lui, il te manque quelque chose pour t’épanouir mais en même temps, tu peux faire ce que tu veux, tu as une liberté quasi totale de penser et d’agir, il ne te juge pas. Une relation avec moi serait bien différente. Ce serait une autre médaille avec un autre revers. Je t’offrirai surement un terreau d’épanouissement, mais tu entrevois surement que tu devras t’impliquer un peu plus, t’investir, t’expliquer et gérer des situations que tu n’as pas à gérer avec lui. En veux-tu? Que veux tu? Qu’espères-tu? J’aurai une dernière question, et je sais que tu n’auras pas de réponse (alors n’en donne pas); combien de temps penses-tu qu’un amour vrai, fort, vécu par des êtres faibles, peut se vivre à distance, dans les trous de nos disponibilités, virtuellement, tout en ne provoquant pas de peine? Moi je ne sais pas. Pour l’instant il survit, et ce n’est pas si mal. Est ce étrange que ça fasse parfois mal de ne pas t’avoir avec moi, de te savoir ailleurs, dans les bras d’un autre? Je trouve que je ne m’en sors pas si mal et que je donne beaucoup d’espace à cet amour, à cette situation.

Moi aussi je t'aime. Moi aussi je m'ennuie de toi et de ta peau. Je ne reponds pas à tes textos pour ne pas te mettre dans le trouble, mais j'en meurs d'envie. Merci de me faire signe en tout cas. Ça fait toujours tellement plaisir d'avoir ce petit signe de vie et de se remettre en mémoire ton amour et ta présence. 

Je t'aime et ta peau me manque.