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Le 11/11/2015
Comme d'habitude, te rencontrer, partager un peu de ton temps, de ton air, de ton aura et de ton plat m'a fait du bien. En sortant de la rencontre je me sentais le coeur léger, l'ame un peu plus en paix. Quel plaisir de te connaitre. J'adore nos discussions, je suis en amour avec ta présence, je suis complet avec toi dans ma vie.
Merci encore. Je suis content.
Le 08/11/2015
Salut Choup,
J'ai beaucoup repensé aux possions depuis que j'ai vu ta face de pas satisfaite. Oui j'aime la simplicité et la sobriété du dessin que je t'avais montré, mais je ne veux pas qu'il te bride d'aucune façon. Alors oublie le un peu. La commande réside donc dans l'idée du ying et du yang qui se complètent sous la forme de poissons qui eux se contrastent par leur couleur. RIEN DE PLUS! Alors laisse toi aller sur la signature -ta signature- finale que ces 2 entités auront. J'aime ce que tu es et ce que tu transpires. Alors ne t'enferme pas dans une retenue qui te dénature. Je suis certain au fond de moi que la touche que tu mettras de toi là dedans me conviendra. Au pire, je me les ferai mettre sous la plante des pieds pour pas qu'ils se voient! ; )
Aussi, j'aimerai vraiment que tu m'en offres un de tes dessins. Depuis que j'ai aperçu la mare aux poissons, je ne veux plus que ça pour mon Noël!!! stp stp stp!! Finis le et offre le moi! stp stp stp!!
Saru
Le 07/11/2015
Je savais que je pouvais te faire confiance et que tu comprendrais. Cependant je me dois de te dire que je vois les choses un peu différemment. Il est certain que j'ai peu de place dans ma vie et dans ma tête. J'ai toujours fait tout mon poissible pour que cela soit bien rempli, quasi complet pour être certain de profiter et de ne pas regretter. Ces derniers mois, j'ai fait une place importante pour toi dans cet univers (en poussant d'autres choses évidemment) et je me suis rendu loin dans le n'importe quoi pour essayer de garder cette place la plus grosse possible (il faut dire que depuis que tu vas plus au gym... tu as pris un petit peu des hanches, non?) (là elle répond "Fuck you") (et là je réponds "je savais que tu me dirais ça car la vulgarité est le refuge des simples d'esprit") (et là elle me répond "FUCK YOU!!" en levant la tête pour détourner le regard de moi comme pour me punir mais que ça marche pas parce que je vois sa gorge et un peu plus de ses cheveux follement libres). Dernièrement, l'impasse était très proche. Ça allait cassé, tout allé être détruit. Il fallait faire quelque chose qui fasse appel à la raison plus qu'à la passion ou à l'émotion. Pour de petites et grandes raisons, nous ne pouvons pas aller de l'avant, ensemble et oui, même si nous sommes un couple, car je le vois aussi comme ça, nous ne pouvons pas vivre comme un couple normal. La question demeurera toujours, la vie de ce couple apportera-t-elle plus de joie que de mal. J'ai les 2 c'est certain. Oui, j'ai mal d'être seul alors que je me collerai à toi pour m'endormir. J'ai mal de t'aimer si fort en sachant que tout cela ne peut se vivre. J'ai mal de savoir que je pense plus à toi qu'à toute autre personne sur terre. Mais non, je n'ai pas que mal. J'ai tant de joie à savoir que tu es là. À regarder ta photo, à te voir me payer le diner, à te savoir assise à côté dans mon auto, à toucher ton avant bras du bout de mes doigts et ... à me souvenir... n'importe quand... de n'importe lequel de ces moments.
OUI la retenue, et la discrétion sont là, et il ne collent pas avec notre histoire qui bouillonne et qui déborde de partout. J'ai l'air distant, mais j'ai la main dans un étau à la maison et j'ai le coeur en prison car il a été puni de ne penser qu'à toi. Les moments où je suis libre physiquement sont rares, mais il le seront moins que ce que tu penses si tu ne les attends pas trop (putain, j'en reviens pas de voir que c'est moi qui dis ça). Nous avons 2 vies, c'est ce que nous semblons choisir pour le moment, alors telles en sont les conséquences. Là, maintenant, je dois jouer un jeu pour le reste du monde, mais ne tombe pas dans le panneau, ce jeu, il n'est pas pour toi. C'est une pause qui permet de calmer la frénésie pour ne pas qu'elle engendre la perte.
MAIS NON, cela n'a rien à voir avec faire des taches sur quoi que ce soit. Nous ne le salissons pas en le bridant, légèrement et pour un temps. Je vais avoir du temps pour toi, du beau du vrai, comme tu en mérites et comme je veux t'en donner. Et mon amour, il est là, total, ubiquiste, et en tout temps. Je vis une partie de cette vie pour toi maintenant. Il manque peut être la partie charnelle, pour le moment, mais le reste est là et le reste est tout aussi beau. Ne fais pas l'erreur que j'ai tant faite de croire qu'en quelques jours tout peut changer. Je cherche à simplifier ma vie et ces derniers jours j'ai essayé de mettre le temps qu'il faut pour cela.
Je savais que tu comprendrais. Je savais que tu me dirais la vérité. Je savais que tu ne me mentirais pas. Continuons à le faire, sans promesses, sans (trop) d'attentes, juste vivre et aimer, profiter et embellir, compléter et entretenir. (ça se voit tu que je suis dans les verbes de l'annexe O !?!?)
Je ne t'oublie pas, je ne te tasse pas, je ne peux pas me départir d'une si grande portion de ma vie.
Le 07/11/2015
Oui, j'ai été déçue. Aujourd'hui, j'avais l'impression que tu m'en donnais juste assez pour me garder accrochée, mais pas assez pour être vraiment présent. Je trouve parfois difficile de devoir m'insérer dans ta vie, déjà bien remplie. Je comprends ton manque de temps. Je ne peux t'en vouloir. Je trouve ça beau en fait. Beau de te voir aussi présent pour tes enfants, beau de te voir aussi impliqué dans ta communauté, beau de te voir investi à ce point dans ton travail. Je sais que tes moments libres, et je veux dire, vraiment lires, sont rares. À cause de cette situation pour le moins délicate, ils le deviennent de plus en plus. Les moments où tu es libre physiquement sont rares. Mais les moments où ta tête est vraiment libre le sont encore plus. Je ne sais pas si c'est le mauvais poisson qui a faim et qui réclame sa part ce soir, mais j'ai parfois l'impression qu'à force de petites frustrations accumulées, nous entachons cette belle histoire qui est la nôtre. Je n'ai pas de solution à cela. C'est peut-être normal en fait. Les couples vivent parfois ce genre de frustration. Et nous sommes presque un couple non? Pas conventionnel dans sa forme, mais authentique dans son essence. Il n'y a pas matière à s'inquiéter. Demain tout sera oublié, tu le sais bien. Mais je ne te mentirai pas en te disant que tout allait bien aujourd'hui. Je trouve de plus en plus difficile de comprendre Mélanie, et de te comprendre là-dedans. Si j'étais ton amie, je te dirais mon point de vue sur ta situation. Si j'étais ton amour (de manière officielle, disons...), je t'exprimerais mon malaise face à cette situation. Mais là, je ne suis ni une, ni l'autre. Je me retrouve face à une espèce d'impossibilité de dire les choses telles que je les vois. D'une part, parce que je comprends ta situation face à ton couple, qui est aussi la mienne d'ailleurs. D'autre part, car nous vivons notre histoire dans un monde parallèle qui exige de chacun de nous une retenue et une grande discrétion.
Je sais que tout cela vise à nous assurer un avenir. Je sais très bien que les cachettes, les départs hâtifs, les moments d'attente ne sont pas désirés. Qu'ils existent pour nous donner une chance de nous voir demain. Mais comprends bien qu'il est maintenant difficile pour moi de me rationner de toi.
Je ne t'en veux pas pour aujourd'hui. La vérité, c'est que cette petite frustration ne fait que confirmer l'amour que je te porte.
Le 07/11/2015
Je lutte contre l'idée que je te déçois. J'ai peur de ne pas t'en donner assez, pas assez de temps, pas assez de mots, pas assez de regards. Aujourd'hui j'ai senti une pointe de déception ou de frustration dans ta voix, dans tes yeux, dans ta main, lorsqu'elle est allée replacer cette mèche de cheveux juste avant que la communication soit coupée.
Je sais que le temps va vite, que je cours après lui, en essayant de t'en garder... mais cela est difficile. Je t'en donnerai plus si je pouvais. Je lutte contre l'idée que je te déçois en ne t'en donnant pas assez... Mais j'ai aussi confiance. J'ai confiance que tu comprends, que tu sais que c'est pour un temps, que tu ne me perds pas. Que tu ne me perdras jamais.
Je sais aussi que même si tu a été réellement frustrée de me voir arriver, partir, là, pas là ces 2 derniers jours, tu me pardonneras. Je sais que tu pardonnes vite, que tu me pardonnes vite.
Je lutte aussi pour conserver cette idée que nous nous sommes imposés. Nous leur donnons une chance. Pour le faire, je dois agir et me commettre. Si je donne une vraie chance à mon couple, c'est d'abord donner du temps. Mais n'aie pas peur, je ne tue pas de chat pour donner du temps. Comprends aussi, que la solidité de nous allons démontrer dans les prochains jours et semaines nous serons garant de plus belles choses plus tard. Je crains que si l'on est juste un peu trop faible maintenant, cela se terminera par un "là ça devient un peu n'importe quoi" ou "là, ils ne nous laisserons pas de choix".
Je ne veux pas cela. Je veux te garder pour toujours dans ma vie, et pas juste comme un souvenir. Tu es en moi et nous partageons tout. C'est d'ailleurs l'angle du texte que je suis en train d'écrire pour la chanson. J'ai cherché longtemps, cet angle, à la fois positif, et pas mielleux, amoureux mais un minimum original. Je crois que je l'ai trouvé. Tu es en moi et nous partageons maintenant tout.
7-4
Finalement, je fais du camping sous le signe de la pleiade. Je me suis lancé ce défi et j'ai hate de le relever. Là je suis au travail, mais je pars bientôt me trouver un petit spot tranquille...
Fais attention à toi et ne t'inquiète pas, je lutte pour ne pas nous perdre.
Le 05/11/2015
Tu sais, je ne sais pas qui apporte plus à l'autre. Et je crois que je ne chercherai plus à savoir. Maintenant ce qui m'importe, c'est de ne pas te perdre... et ce ne sera pas chose évidente. La colère est forte autour de moi et si j'accepte de l'encaisser j'ai beaucoup de mal à accepter les mots qui te sont adressés. Tu es une partie de moi et ces mots finissent donc par me blesser moi aussi. Oui je serai là, je serai une partie de ton future, en tout cas tant que tu le voudras. Mais je ne pourrai jamais être un simple ami. Il sera peut être difficile un jour d'être ton amoureux (bien au fond de moi je crois l'être déjà) mais je serai toujours plus qu'un ami sois en certaine. Pour moi, tu es amour, tu es muse et tu es nouriture de l'âme. J'espère donc t'apporter cela comme tu le fais pour moi. J'espère que l'on traversera le temps et la distance, comme reliés par un fil secret et invisible. Un fil d'ariane qui nous retient chacun à la vie, notre vie à nous qui complète notre vie avec eux.
Hier soir j'ai écrit un texte avec l'humeur de légèreté et de bonheur qui planait suite à cette belle journée que l'on s'est offert. Aujourd'hui j'ai trouvé la musique qui irait dessus. Je n'ai jamais été aussi efficace pour lier texte et musique. C'est comme si ces choses étaient en moi mais mélangées, pas assemblées. Et voilà que tout à coup, elles sortent et s'assemblent facilement. En relisant et en chantant ce texte, je me suis en fait aperçu qu'il n'était pas si léger mais bien empli de bonheur. Ce texte veut te dire merci de t'avoir trouvé. Il enferme finalement un peu de tristesse -évidemment, accords mineurs oblige- mais il enferme aussi l'importance que tu as acquise en moi, dans ma vie. Le besoin que j'ai de te connaitre et de t'avoir avec moi sur ma route. L'idée que tu m'as en quelque sorte sauvé, éveillé, réveillé. J'espère qu'il te plaira.
-Montre toi si je tombe-
Je suis épuisé, de tout le temps me garocher, de tout le temps me planter,
Je sais pas ce que je fais, mais y’a une chose que je sais, ils vont faire payer.
Pourquoi j’y arrive pas, pourquoi moi je sais pas, comment me démêler?
Et toi qu’y es pas là, toi qui me dirais, toi qui m’expliquerais
Que peu importe, que la vie les emporte, et surtout loin de moi.
Que peu importe, que la vie les emporte, et surtout loin de moi.
Montre toi si je tombe, Montre toi si je tombe,
Il ne me reste que toi, pour pouvoir me tenir droit.
J’aimerai me pendre à tes pieds, ou peut être à tes bras, en tout cas m’accrocher
Je sais pas ce qu’en dirais, mais moi je me disais, que ça les habillerait
Pis que si jamais tu voulais, tu pourrais m’enlever, pour heurter l’oreiller
Alors tu serais là, et puis tu me dirais, et puis tu m’expliquerais
Que peu m’importe, que la vie les emporte, et surtout loin de moi.
Que peu m’importe, que la vie les emporte, et surtout loin de moi
Montre toi si je tombe, Montre toi si je tombe,
Il ne me reste que toi, pour pouvoir me tenir droit.
Je t’ai enfin trouvée, mais où tu te cachais, qui te retenait?
Avec toi derrière moi, et un peu à côté, je peux les repousser
Je ne veux plus errer, je ne vais plus errer, je vais juste apprécier
Tu peux aller sur les toits et crier toute ma joie, cette chanson est à toi
Car peu m’importe, que la vie les emporte, maintenant tu es là.
Car peu m’importe, que la vie les emporte, maintenant tu es là.
Merci pour hier. Merci pour demain.
Le 04/11/2015
Merci pour hier.
Elle n’est pas complètement partie, la peur de te perdre, mais hier, j’ai été rassurée. J’ai été rassurée de te voir calme, optimiste, et heureux. J’ai été rassurée de te sentir là, tout simplement.
Merci d’avoir croisé mon chemin. J’ai l’impression que lorsque je marche ce chemin avec toi, la route est plus facile, mon pas est plus léger.
Malgré toutes les peines, toute la souffrance, tous les événements difficiles des derniers mois, je suis incapable de ne pas remercier la vie de nous avoir permis de nous rencontrer.
Merci de m’avoir offert le meilleur de toi, de t’être livré aussi simplement et honnêtement, de m’avoir fait évoluer. Aussi drôle que cela puisse paraître, je crois que dans mon cas, évoluer a été de retrouver un peu qui j’étais, ou plutôt, qui je suis vraiment. C’est toi qui m’as aiguillé. Merci d’avoir nourri mes rêves et d’avoir bercé mon âme, d’avoir partagé un peu de ta passion. Merci pour tes mots, pour ta musique, pour ces petites notes retrouvées sur mon bureau, pour les cartes postales, pour ces odeurs d’un voyage que j’ai fait en rêve, pour les fous rires qu’on a partagés, pour ton écoute, pour ce que tu es. Tu as tellement à offrir. J’aimerais t’en donner autant que tu m’en donnes.
Merci pour demain.
Je suis contente de savoir que tu seras là, demain. Que demain ne se fera pas sans toi. Je suis rassurée de t’entendre me dire qu’on se retrouvera, un jour.
Merci de demeurer mon ami. La présence de l’ami allégera certainement l’absence de l’amoureux. Pour ma part, je serai l’amie amoureuse. Ou plutôt l’amoureuse à peine dissimulée sous le voile de l’amitié. Mais je serai amie, tout de même.
Demain, tu seras encore dans ma tête, et dans mon cœur. Tu seras au parc avec moi, sur le divan le samedi matin, à mon réveil dans le lit, à mes côtés lorsque je travaille, dans l’auto à écouter la musique, à la table lorsque je peins, au resto lorsque je prendrai ma première gorgée de vin, sous le pommier à lire tranquillement, à faire la sieste en après-midi…
Demain, je n’oublierai pas la beauté de ce que nous sommes.
Finalement, merci de continuer à nourrir cet espoir que la vie peut-être mieux. Que ce qui est bien ne suffit pas toujours.
Le 02/11/2015
Y'a des fois, je ne comprends plus rien. Comme là.
Chaque chose que j'imagine autour de toi est belle et me fait envie. Tu es l'incarnation de tout ce que j'ai toujours désiré. Quelqu'un de doux, sensible, intelligent, espiègle... belle, amoureuse, présente, franche... complexe mais stable, simple mais riche. Mais je bloque. Je ne saisis pas bien où je bloque, je ne saisis pas du tout en fait.
Et puis, il y a ta patience, ton désir et tout ce que tu offres. Moins je comprends ce qui se passe et plus je te vois calme et encore là... Il y a un tel décalage entre mes peurs, issues de mon ancienne vie et mes espoirs issus de ce que je vois en face de moi quand tu es là. Plus je me dis que je vais te faire peur et t'éloigner, plus j'ai l'impression que tu te rapproches et que simplement tu m'aimes. Apprends moi tout ça où je vais devenir fou.
Fou, je le suis. De toi en tout cas, ça c'est certain. Merci d'avoir été là, d'être venue dans ma vie et de m'avoir invité dans ton bureau. Merci encore pour ce moment, pour ce gout, pour ce cadeau.
Apprends moi à me taire. Apprends moi à te vivre. Je t'aime et je ne pensais plus le dire, mais je t'aime comme je n'ai jamais aimé, d'une façon si différente que je ne m'en remets pas... que je ne me comprends pas.
Que s'est-il passé exactement?